26 février 2005
Pleurer n'est pas jouer
Il n'y a pas si longtemps de cela, j'allais au cinéma voir Danny The Dog. Film
injustement mécompris par le public selon moi, il a eu le mérite de
provoquer chez moi une montée lacrimale irrésistible lors d'une scène
(oui oui, Jet Li sait faire passer des émotions). De même, j'ai
découvert récemment un titre envoutant, Brautlied de
Michaela Melian. Artiste également assez underground (elle est surtout
connue pour avoir illustré musicalement des expositions d'art
contemporain), elle aussi a réussi à me donner la chair de poule et à
me faire sentir mal à l'aise, triste, mais en même temps heureux de
ressentir cette émotion.
Le piano, source de larmoiements incontrolés, que ce soit chez Danny ou chez Michaela
Quel rapport avec le jeu vidéo me direz-vous ? Aucun, et c'est bien le problème. Autant on rigole, on s'énerve, on est curieux quand on joue aux jeux vidéo, autant on ne pleure quasiment jamais. Le travail va être très facile pour moi pour vous résumer les rares expériences touchantes du jeu vidéo qui m'ont marqué.
La première avait eu lieu il y a bien longtemps, à l'époque de la SNES. Dans Super Metroïd, vous sauviez au tout début du jeu un petit oeuf de Metroïd de la destruction, alors que vous évitez ces méchantes bêtes tout au long du jeu par la suite. Puis, après maintes batailles, combat final contre la boss ultime. Presque invincible, vous ne devez votre salut qu'à l'intervention du petit Metroïd du début du jeu devenu grand, qui dans un geste héroïque, se sacrifie pour vous sauver. Cela peut paraitre idiot raconté ainsi, mais je peux vous assurer que j'ai eu la larme à l'oeil quand mon petit Métroïd a poussé un dernier cri avant de rendre l'ame.
Fallait pas tuer mon bébé Metroïd !!
La deuxième fois que j'ai eu des frissons (vous remarquerez que ce furent des frissons, pas des larmes), c'était lors de Shenmue 2, lorsque Ryo se retrouvait en Chine à la fin du jeu. Je pense que le fait que j'aie des origines chinoises puisse avoir été à l'origine de ce sentiment de nostalgie, mais bon, il faut avouer qu'une telle poésie dans la mise en scène ne pouvait que provoquer qu'un tel genre de ressenti.
Et c'est tout ... oui c'est bien tout. Alors on peut encenser les MGS, les GTA et autres Halo, il y a bien une chose que ces titres ne savent pas faire en ce moment, c'est faire pleurer. Donc messieurs les éditeurs, faites moi plaisir, mettez un peu de sauce mélodrame dans vos recettes, histoire de les relever un peu de la fadeur du happy end habituel.
Le piano, source de larmoiements incontrolés, que ce soit chez Danny ou chez Michaela
Quel rapport avec le jeu vidéo me direz-vous ? Aucun, et c'est bien le problème. Autant on rigole, on s'énerve, on est curieux quand on joue aux jeux vidéo, autant on ne pleure quasiment jamais. Le travail va être très facile pour moi pour vous résumer les rares expériences touchantes du jeu vidéo qui m'ont marqué.
La première avait eu lieu il y a bien longtemps, à l'époque de la SNES. Dans Super Metroïd, vous sauviez au tout début du jeu un petit oeuf de Metroïd de la destruction, alors que vous évitez ces méchantes bêtes tout au long du jeu par la suite. Puis, après maintes batailles, combat final contre la boss ultime. Presque invincible, vous ne devez votre salut qu'à l'intervention du petit Metroïd du début du jeu devenu grand, qui dans un geste héroïque, se sacrifie pour vous sauver. Cela peut paraitre idiot raconté ainsi, mais je peux vous assurer que j'ai eu la larme à l'oeil quand mon petit Métroïd a poussé un dernier cri avant de rendre l'ame.
Fallait pas tuer mon bébé Metroïd !!
La deuxième fois que j'ai eu des frissons (vous remarquerez que ce furent des frissons, pas des larmes), c'était lors de Shenmue 2, lorsque Ryo se retrouvait en Chine à la fin du jeu. Je pense que le fait que j'aie des origines chinoises puisse avoir été à l'origine de ce sentiment de nostalgie, mais bon, il faut avouer qu'une telle poésie dans la mise en scène ne pouvait que provoquer qu'un tel genre de ressenti.
Et c'est tout ... oui c'est bien tout. Alors on peut encenser les MGS, les GTA et autres Halo, il y a bien une chose que ces titres ne savent pas faire en ce moment, c'est faire pleurer. Donc messieurs les éditeurs, faites moi plaisir, mettez un peu de sauce mélodrame dans vos recettes, histoire de les relever un peu de la fadeur du happy end habituel.
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