Rocco et ses frères préhistoriques
Donc je lui ai proposé la théorie suivante :
La myopie était quasi absente chez les hommes préhistoriques, car c’était essentiel d’avoir une bonne vue pour pouvoir chasser. Les myopes étaient condamnés à ne rien manger, voire même à se faire manger par les proies qu’ils chassaient. Sélection naturelle oblige.
Aujourd’hui on peut voir que la myopie se « répand » à grande échelle, car ce n’est plus un défaut critique pour la survie en jungle urbaine (quoique franchement je me passerais bien de mes lunettes… enfin bon…)
Quel rapport avec la taille du sexe masculin me direz-vous ? Hé bien selon moi cela a évolué de la même manière.
Les hommes préhistoriques vivaient tout nu, laissant apparaitre aux yeux de tous leurs attributs plus ou moins grands.
Les testicules et la verge étant des symboles de fécondité, on peut surement penser que les moins bien bâtis devaient finir leur vie à s’astiquer le bambou, tandis que les mieux lotis devaient se faire plaisir à honorer la tribu ; l’apparence jouant plus que la « personnalité » de l’homme préhistorique.
Aujourd’hui, nous sommes tous habillés en permanence (sauf dans certains camps au Cap D’Agde) et l’acte sexuel n’a généralement lieu qu’après un minimum de discussion. C’est donc la « surprise » quand madame découvre enfin la « bête » (ou l’asticot, selon morphologie).
Donc mesdames, et c’est là le drame, je pense que la meilleure époque pour trouver des Rocco Siffredi ou des Anto (fallait que je la place celle là), c’était malheureusement la préhistoire. La sélection naturelle n’étant plus ce qu’elle est, des tas d’hommes « moins » membrés sont donc désormais dans la nature. Ne leur en voulez pas, c’est la faute de leurs ancêtres qui ont décidé de s’habiller !
En revanche, de là à dire que les Rocco-like sont des Néanderthals, il y a un pas que je ne franchirai pas…
(pour les gens intéressés, j’ai checké sur le net et vous trouverez des articles qui corroborent la thèse que l’homme préhistorique avait une grosse bite … merde … je m’étais juré de ne pas parler de « bite » dans cet article…)